Pascal Goet est un photographe des années 90. C'est un amoureux de la nature depuis sa tendre enfance. Après ses découvertes du monde floral et animal, il a partagé sa passion envers la nature au monde entier. L’artiste Pascal Goet est un photographe de la nature dans tous ses états, c’est-à-dire qu'il ne transforme aucun des formes et natures des insectes ou plantes qu’il photographie. C'est ce qui fait de lui un professionnel en son art. Mais qui est réellement Pascal Goet ?
Qui est Pascal Goet ?
Pascal Goet est un photographe français qui est né en 1958, dans le Nord de la France. En 1990, il est devenu un photographe spécialisé et professionnel en macrophotographie après ses nombreux et longs voyages. Pendant ses voyages, il a découvert des insectes et des forêts équatoriales. De ce fait, il a participé à des tournages de films animaliers en Zambie, Kenya, Islande, Espagne. Depuis l’année 1991, l’artiste Pascal Goet réalisait beaucoup de reportages de thème nature, l’anthropologie et science. Ces reportages sont publiés dans la presse internationale et dans la presse spécialisée. L’année 2013, il débutait un projet prétendu à l’art contemporain nommé Gueules d’Enfer.
Un photographe passionné par la nature
L’artiste Pascal Goet est attiré par la nature, et cela depuis son enfance. Il est marqué par ses œuvres. En somme, il observait la nature avec intensité. Il a découvert une prospérité de formes, de couleurs inégales et de textures dans le monde animal. À part les animaux, il s'intéressait aussi les plantes et les minéraux. Grâce aux insectes, les portes d’un monde parallèle séduisant sont ouvertes pour Pascal Goet. Il aime partager sa passion, alors il nous fait voir sa société peuplée de plantes et d’animaux. Il explore l’essence de la création et puis la publie en pleine lumière, aux yeux de tous.
Un photographe d’art dans tous ses états
Le photographe Pascal Goet photographe les insectes avec un regard artistique. Il n’applique aucune modification de couleur ou de formes, il utilise simplement la lumière et le travail d’ombre. Sur le plan numérique, quelques parties des insectes photographiés sont effacées ou même estompées pour donner et améliorer l’apparence des photos.
Le photographe a dit que regarder d’abord, ressentir et puis analyser l’évolution de l’humanité est lié à la contemplation passionnée de la nature. Enfin, une quête de beauté commence à s’initier. Et cette beauté est une beauté fondamentale à notre soif d’art.